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RESUMES-(cliquez) : ALEXANDRE MITZALIS
le 21/4/2014 16:34:57

Entretien avec l'écrivain et poète Alexandre Mitzalis

Entretien avec Alexandre MITZALIS paru dans la revue "Le courrier international de la Francophilie", dont le directeur est M. Constantin Frosin


L. : Bonjour, Monsieur Mitzalis, je suis très contente de pouvoir parler littérature avec vous, après la parution de mon livre Alexandre Mitzalis et les chants de l’Europe, Mythes, cellules, atomes : mouvement et métamorphose (1), contenant la traduction de vos recueils poétiques intitulés Libations à l'Europe, La Muraille d'Europe, Ceux qui croyaient au ciel et ceux qui croyaient à la terre.
M. : C’est un plaisir, j’aime travailler avec vous.
L. : Tout d’abord, je voudrais vous poser une question très générale … Comment définiriez-vous votre poésie dans ses grandes lignes ?
M. : Je veux être modeste dans mes réponses, mais à aucun moment de ma vie je n’ai eu le sentiment que ma poésie pourrait se confondre soit avec la poésie grecque, soit avec la poésie française. Donc, si vous me le permettez, je définirais ma poésie comme une loupe qui observe certains moments de la vie de l’homme, notamment ceux qui ont marqué l’histoire de l’humanité.
L. : Votre poésie est strictement liée à la science … vous faites allusion aux recherches sur le cerveau humain de la part des biochimistes, des anthropologues, des paléontologues, des astrophysiciens, des physiologistes et à leur tentative d’éclairer la présence humaine sur la Terre en commençant par la première cellule de vie et par les premières espèces qui habitèrent notre planète … vous mettez toujours la science au centre de votre poésie …
M. : … je fais danser les molécules … j’ai écrit un poème qui s’intitule La danse des molécules…
L. : … voilà ! votre poésie se caractérise par l’intérêt envers la biologie, la lutte entre le bien et le mal, entre la haine et l’amour … et elle propose une attaque continuelle contre la religion … toutes les religions.
M. : Oui. Les données qui caractérisent le plus ma poésie sont principalement les avancées scientifiques dans tous les domaines … tout particulièrement je prends en considération les travaux des biologistes sur le cerveau humain. Les trois cerveaux de l’homme – le cerveau reptilien, mammalien et humanoïde (ou cerveau de l’homo sapiens) – sont, selon les biologistes, à l’origine respectivement de la violence, de l’amour, de la sagesse. Ma poésie concerne les questions ancestrales qui nous préoccupent encore aujourd’hui : les origines du bien et du mal, de l’amour, de la haine, des idéologies, de la foi, de l’athéisme …
L. : Françoise Cardinaux – professeur de Lettres et Histoire au Lycée Fernand-Léger d’Audincourd – dans un article publié dans L’Est républicain, datant du 9 février 2010, écrit : « Je pense que pour Alexandre Mitzalis la poésie est une forme d’engagement politique de type quasi révolutionnaire, une façon d’aller au bout de ses idées et par là de transformer la réalité. Même si personnellement je pense que la poésie permet aussi de sublimer ses émotions »…
M. : … Cette critique de Françoise Cardinaux est pour moi très positive. Moi, je sublime mes émotions, je les rends idéales, je les élève … Un aspect fondamental de ma poésie est l’engagement profond à travers mes héros, qu’ils soient Démocrite, Empédocle, Œdipe, Marquis de Sade, Freud, et beaucoup d’autres … Dans la plupart de mes poèmes le « je » coïncide avec le « moi », avec moi-même : je m’identifie avec le sujet du poème, je me cache derrière lui, je suis moi-même la matière dont je parle … il y a des éléments autobiographiques répandus partout … je pense, par exemple, aux personnages de Tirésias, de l’apôtre Paul … Dans chaque poème il y a un message … je fais de la poésie presque une religion … C’est pourquoi je suis tout à fait d’accord avec votre professeur, Giovanni Dotoli quand il écrit : « Mitzalis a la tentation de l’absolu, toujours axé sur ce qu’Eugène Guillevic appelle autre chose. C’est l’autre chose que cherche ce poète, dans l’irrespirable d’une Europe qui est en train de mourir, ne réussissant pas à retrouver la lignée de son vaste horizon, qui ne serait que tout simplement dicté par son histoire » (2).
L. : En effet, au centre de vos préoccupations il y a l’Homme et la planète : l’amour pour les êtres humains, les animaux, la nature ; l’attention envers la tradition ; le sens de l’Histoire … Historia magistra vitae … l’Histoire apparaît dans tous vos vers comme un témoignage des vices et des vertus de l’homme, de ses triomphes, de ses victoires, de ses découvertes mais aussi de ses erreurs et horreurs. Vous manifestez toujours un besoin de renouvellement … Qu’est-ce qu’on devrait faire, d’après vous, pour ‘‘libérer’’ l’Homme ?
M. : Je viens d’achever un article intitulé Le cerveau triunique de l’homme et la Chimère mythologique ou Comment se débarrasser des idées. Dans ce texte, j’ai recours à un monstre de la mythologie grecque : la Chimère … un monstre soufflant des flammes … dont la tête est celle d’un lion, le corps est celui d’une chèvre, et l’arrière-train celui d’un serpent. Eh bien … j’écris que cette Chimère trisubstantielle trouve son équivalent dans le cerveau humain qui est composé, lui aussi, de trois substances chimiques : le cervelet, le limbique et le néocortex ou matière grise. Dans la vie quotidienne ces trois natures de l’homme se concrétisent d’une façon dramatique, la première étant agressive, avide, conservatrice, gardienne vigilante du nid-foyer, la deuxième, tendre, sentimentale, joueuse, câline, souple et la dernière, méthodique, inductive, critique, absolue. Les trois centres de décisions contenus dans le cerveau réagissent, selon les stimuli, après une lutte dramatique entre eux : car ils ont comme critère l’intérêt de chacun des trois cerveaux et en dernière analyse l’intérêt de l’espèce ...
Or, dans cet article, je mets en évidence que le néocortex, tout en étant un « cerveau perfectionné » est aussi éphémère et vain que les deux précédents c’est-à-dire le reptilien et le mammalien. Le néocortex cultive les idées – y compris les superbes et vaines exagérations – sans jamais pouvoir se décrocher du voisin reptile et du proche parent mammalien qui cohabitent dans notre cerveau avec lui.
L’homme doit se convaincre que cette dernière expression de son espèce est aussi éphémère et vaine que les deux autres. Tout le problème consiste à ce que l’homme soit convaincu que sa sagesse, l’infaillibilité de sa religion, ses sciences, ses arts sont simplement des transformations de la matière et rien d’autre. L’homme évolue dans une situation éphémère … et sa faiblesse est due justement à cette fragile situation du cerveau humain … à ce propos, je veux vous lire un passage de ce texte :
Si nous nous entretuons encore aujourd’hui ou si nous légiférons, comme depuis des millions d’années, c’est parce que nous n’avons pas encore exploité la terrible vérité que l’homme qui sort le matin de chez lui chargé de ses superstitions, de ses convictions inébranlables, de son éducation, de ses choix personnels, conséquence de ses racines héréditaires, de son ADN, n’est rien d’autre que le porteur de mythes et de valeurs de l’animal qui exista à une époque extrêmement lointaine. Cet homme est porteur aussi d’amour et de tendresse qui jaillissent de son cerveau mammalien […]
Donc, l’homme ne peut pas dépasser l’éphémère … à cause du fait qu’il est coupé en trois – violence, amour, sagesse – … même s’il y a une évolution, et effectivement il y a toujours une évolution, l’homme ne peut pas, l’homme ne pourra jamais atteindre le sommet … et cela justement à cause de cette tripartition …
Dans mes poèmes, il est toujours question de l’action terrifiante et versatile du cerveau aux natures plurielles qui se manifeste par des génocides, des holocaustes, des exacerbations des passions politiques et religieuses, des flambées de nationalisme, des racismes, des bûchers, des incendies volontaires, la pollution de l’environnement … l’homme est un être extrêmement faible tout comme l’ont montré, par exemple, Eschyle, Sophocle, Aristophane, Euripide, Shakespeare, Molière, Corneille

Dans mon poème intitulé Les primordiales il y a des vers où je m’exclame : « Tu comprendras ce qui t’a fait naître / toi qui tues ce que tu aimes / toi qui aimes ce qui te tue / Avec une main tu détruis ce que l’autre main a fait / Tu payes avec ton sang chacune de tes conquêtes » justement pour souligner le cercle infernal … l’opposition des sentiments … le danger de devoir payer avec son sang chacune des nouvelles conquêtes (cf. Galileo Galilei, Giordano Bruno) … car ce sont les « idées », le mental non maîtrisé, qui provoquent les maux des hommes, le fanatisme, les préjugés …
La question que je me pose depuis longtemps c’est : « jusqu’à quand va continuer le jeu sanglant entre le reptile, le mammifère et l’humanoïde qui cohabitent dans notre boîte crânienne ? » … les décennies et les siècles qui viendront nous parleront … Ce qu’il faut c’est affronter la vie tous les jours en donnant la juste importance à la science et être responsables de ses actes.
L. : Quel rôle joue la mythologie grecque dans votre pensée ?
M. : Fondamental … j’ai remplacé le christianisme par la mythologie grecque … j’ai souvent recours aux mythes, notamment à certains mythes … c’est comme s’ils ont le pouvoir de m’aider : Apollon, Antigone, Œdipe … c’est comme si l’Antiquité m’appartient … elle m’a beaucoup influencé. Dans ma toute jeunesse j’étais tombé amoureux d’une jolie jeune fille et, à cette époque-là, on fréquentait l’Église … mais puis, à partir de l’âge de 15 ans, après avoir lu Ecce Homo de Nietzsche, je me suis tourné de plus en plus vers la poésie et la liberté de pensée. Et maintenant la mythologie demeure, dans cette phase de ma vie, une source calme d’inspiration et de créativité.
L. : Quel est votre rapport avec la poésie / la littérature grecque et la poésie / la littérature française …. et avec les autres littératures ? … Tout d’abord, je voudrais savoir par rapport aux poètes contemporains quelle est la place que vous vous donnez ? : est-ce que vous trouvez notamment des points de contact, des aspects communs ou bien surtout des différences ?
M. : Par rapport aux poètes contemporains je ne trouve aucun point en commun, aucune sensibilité commune, à part bien sûr que tous les poètes contemporains ont essayé d’exprimer le malaise d’une civilisation qui est en train de mourir. Moi aussi j’essaie d’exprimer ma désapprobation devant une humanité qui évolue et meurt sans savoir pourquoi … mais moi je propose une idée qui jaillit tout de suite du chaos. Est-ce que vous trouvez un seul poète contemporain qui s’est occupé des trois encéphales de l’homme, du Lémurien Cénozoïque, du Babouin et de sa logique, de « ma voisine de palier » qui est éprise d’amour pour son chien parce que les hommes l’ont déçue avec leur morale abjecte qui méprise le corps … je me sens sur une longueur d’onde totalement différente …
L. : Et par rapport aux poètes du passé ? de qui vous vous sentez le plus proche ? Pourquoi ?
M. : Quant aux poètes du passé … beaucoup d’entre eux, tout en ayant des tempéraments différents, m’apportent souvent des larmes aux yeux … François Villon, Friedrich Hölderlin, Georg Trakl, Heinrich Heine, Edgar Allan Poe, T.S. Eliot, Erza Pound, Ugo Foscolo, Giacomo Leopardi, Charles Baudelaire, Gérard de Nerval, Paul Valéry, Gabriele D’Annunzio – j’aime lire Le Vergini delle Rocce –, Vladimir Maïakovski … le philosophe italien dont vous avez écrit un livre Giulio Cesare Vanini (3) … leur audace, leur sacrifice, leur douleur … Dès ma jeunesse j’ai été influencé par Fëdor Dostoïevski, Lev Tolstoj, Nicolas Gogol. Mais il y a aussi les compositeurs comme Beethoven, les peintres … ceux de la Renaissance italienne et espagnole … Michelangelo, Leonardo da Vinci, El Greco, Francisco Goya, Pablo Picasso … Je ne peux pas parler d’eux sans avoir un frisson … Ils ont combattu pour un monde meilleur … ils sont des dieux modernes … Les fresques de Michelangelo m’ont inspiré le vers Sibylles de l’Hypnos du poème Lucius Licinius Lucullus… Ma pensée doit beaucoup à Yannis Ritsos, Takis K. Papatzonis, Dionysios Solomos, Andreas Calvos … et notamment à Constantin Cavafy qui est peut-être le plus grand poète de la Grèce moderne et de notre siècle.
L. : En tant que citoyen, vous vous considérez Grec ? Français ? ou tout simplement Européen ? … Quel est votre rapport avec la Grèce, la France, l’Europe … De même, en tant que poète, vous vous considérez Grec ? Français ? ou tout simplement Européen ? ….
M. : L’homme et le poète chez moi se confondent et ils sont étroitement liés.
La Grèce est ma patrie, la France est le pays dont j’ai étudié la langue et la civilisation depuis mon enfance avec ma tante … la France est mon pays d’adoption depuis que je m’y suis installé, suite à la Dictature grecque, pour des contingences privées et sociales. L’Europe englobe tout cela à un niveau supérieur. Comme le dit Stefan Zweig, l’Europe est notre mère : ses enfants sont l’Italie, la France, la Grèce, l’Allemagne, les Balkans, etc. Les fondateurs de l’Europe – Konrad Adenauer, Charles de Gaulle, Alcide de Gasperi, Jean Monnet et les autres piliers de ce continent si difficile à harmoniser – l’ont vue de cet œil ... … Si vous saviez combien mon cœur tremble quand j’entends parler de Bruxelles ! … Moi, je considère comme fondateurs de l’Europe Adenauer, de Gaulle, de Gasperi, Jean Monnet … eux, ils avaient une idée d’Europe fraternelle qui aujourd’hui n’existe pas …on a oublié que la Grèce et l’Italie ont été le berceau de la culture … c’est vrai que cela fait partie de l’Antiquité … mais, je pense qu’il faudrait revenir aux idées de ceux qui voulaient une Europe solidaire et fraternelle …Voltaire et Rousseau, par exemple, avec leurs idées cosmopolites visaient une Europe intellectuelle unie et solidaire … Par contre, nous sommes réduits à une Europe totalement dépendante du monde des Banques et des budgets … C’est une question de concertation... à mon avis nous avons beaucoup à faire...
L. : Pourquoi, il y a quelques semaines, vous avez écrit dans un mél que vous m’avez envoyé, que vous avez été impressionné par une phrase, prononcée pendant une conférence au Salon du Livre (2012), concernant la civilisation gréco-romaine : « Les Grecs modernes se prennent pour des Turcs, alors qu’ils sont plus près des Italiens ! » ?
M. : J’ai été impressionné par cette phrase parce que je n’imaginais pas qu’en France on connaissait si bien l’esprit grec qui a été nourri pendant le XVIIIe et le XIXe siècle, c’est-à-dire avant la guerre de l’indépendance, le Risorgimento grec. Les poètes les plus importants de Corfou et de Zante, à savoir Dionysios Solomos et Andreas Calvos connaissaient la littérature italienne avant d’apprendre la littérature grecque … et cette connaissance, ils ont pu la transmettre aux autres Grecs qui vivaient encore sous le joug ottoman … Ugo Foscolo était pour eux un maître et un guide incontestable.
L. : Vous venez de recevoir un prix – le prix Jacques Prévert ‘‘métrique libre’’- 2e accessit – au XVe Concours caritatif international de poésie francophone Richelieu 2012 pour vos trois poèmes : Le problème, Régénérateur de lieux et de villes, Devant l’éprouvette. Ces poèmes appartiennent au recueil Ta protista, qui va être traduit en français, sous le titre Les Primordiales, par Florence Lozet. Il s’agit d’un recueil contenant cinquante-cinq poèmes. Par rapport aux deux recueils que j’ai traduits et étudiés – La muraille d’Europe et Ceux qui croyaient au ciel et ceux qui croyaient à la terre – qu’est-ce qu’il y a en commun ? Et quelles sont les différences ?
M. : Entre tous mes poèmes, du point de vue de la pensée, il n’y a aucun changement, aucune différence … les différences se trouvent dans le fait que certains poèmes sont plus historiques d’autres plus biographiques … Ma poésie est riche en figures … et son fil rouge touche à la tripartition de notre cerveau … aux conséquences du fait que nous avons un cerveau triunique …
Proto est un adjectif qui signifie « premier » ta indique le superlatif « primissime ». Les primordiales c’est une compilation de poèmes appartenant à trois recueils différents … Libations à l’Europe, Toutes les générations d’Europe, Libidinaux et autres poèmes … ayant un but commun, même si chaque poème a un but à lui. Ce livre se compose des poèmes contenus dans Libations à l’Europe y compris le poème homonyme, des poèmes inclus dans Toutes les générations d’Europe y compris le poème homonyme, et des poèmes contenus dans Libidinaux et autres poèmes dont le dernier poème s’intitule Les primordiales. Ta protista sont les atomes, la recherche de la vie dans l’oxygène, l’hydrogène, la science … tous les poèmes suggèrent qu’il faut avoir foi dans la science et dans l’homme … car c’est l’homme qui étudie la science et, à son tour, la science étudie l’homme …
L. : J’aimerais que vous lisiez ces trois poèmes lauréats … Le problème, Régénérateur de lieux et de villes, Devant l’éprouvette.
M. : Bien sûr, avec plaisir … Le problème est un poème écrit quand j’avais 22 ans et que je n’étais pas encore un « penseur libre » … c’est un « problème » arithmétique ; le deuxième poème est lui aussi un poème de jeunesse, il est très ironique … contre toute dictature ; le troisième concerne l’éprouvette qui se trouve dans les laboratoires … j’y rapproche l’homme des éléments infiniment petits comme les microbes, les gènes, les protéines …
… lecture commentée …
L. : Merci de cette lecture commentée et merci d’avoir patiemment répondu à toutes mes questions pendant ces deux rencontres …
M. : Vos questions me paraissent pertinentes, et étant donné l’importance du sujet – l’Europe et son actualité brûlante – nous pouvons envisager cet entretien comme un "manifeste" qui ouvre sur "les chants de l’Europe" … (cf. le titre de votre livre).
L. : Je vous remercie infiniment … ces deux entretiens ont enrichi mes connaissances sur votre poésie … alors, on se donne rendez-vous à demain, 30 juin, à 11 heures, au Cercle de l’Union Interalliée (33, Rue du Faubourg Saint Honoré) pour la remise du prix de l’Académie Internationale de Lutèce : le diplôme et la médaille de bronze pour votre recueil Ceux qui croyaient au Ciel et ceux qui croyaient à la Terre …
M. : C’est moi qui vous remercie pour tout votre travail … vous analysez tout avec un esprit vif et très attentif … vous me paraissez pleine de dynamisme et d’avenir... c’est bien … À demain matin, alors


1- Marcella Leopizzi, Alexandre Mitzalis et les chants de l’Europe, Mythes, cellules, atomes : mouvement et métamorphose, Poésie bilingue français-italien, préface de Giovanni Dotoli, postface d’Alexandre Mitzalis, Paris, Baudry, 2012.

2- Giovanni Dotoli, « La voix du poète », préface à Marcella Leopizzi, Alexandre Mitzalis et les chants de l’Europe, Mythes, cellules, atomes : mouvement et métamorphose, cit., p. 12.

3- Marcella Leopizzi, Les sources documentaires du courant libertin français: Giulio Cesare Vanini, Fasano-Paris, Schena-PUPS, 2004.

Paris, le jeudi 28 et le vendredi 29 juin 2012, Café Bar « Le Sorbon », 60 rue des Écoles.

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